Parc du Petit Prince

Le Parc du Petit Prince, situé tout à côté de l’Ecomusée d’Alsace, a ouvert ses portes en 2014. Entièrement thématisé d’après le livre bien connu de Saint-Exupéry, il s’apprête à prendre une nouvelle dimension durant la saison qui arrive.

Depuis son ouverture en juillet 2014, le Parc du Petit Prince est passé de 90 000 à 150 000 visiteurs annuels. Sans fanfaronner outre mesure, les chiffres sont bons, ce qui démontre un intérêt réel du grand public pour le parc, ses animations et ses ballons captifs qui emmènent les visiteurs à 150 mètres du sol. Sur la saison 2016, le parc a enregistré une progression de 30% des visiteurs locaux, les Haut-Rhinois. Sa journée Halloween a également cartonnée avec plus de 4000 visiteurs sur le site.

Ne l’appelez plus « slow parc »
Souvent qualifié de « slow parc », de par son absence de manèges à sensations fortes et une thématisation plutôt culturelle axée sur les voyages et la littérature (Saint-Exupéry oblige), le Parc du Petit Prince doit aller de l’avant et conquérir toujours plus de visiteurs. Pour ce faire, il n’y a pas cinquante solutions. Le grand public est demandeur « d’attractions », il faut donc lui en donner.

Le Parc du Petit Prince propose deux nouvelles attractions « à sensations » : le grand Splash où des hydravions vont devoir se poser sur l’eau (attraction aquatique type « bûches ») et le Serpent, grand huit long de 200 mètres, avec belles descentes et autres virages serrés. Deux grands classiques des parcs d’attractions. Qui seront par ailleurs accessibles aux enfants, à partir d’un mètre, pour vivre ces expériences en famille. Ces coasters ne visant pas un public amateur de sensations extrêmes bien sûr.

« Nous devons rester proche de la thématique du Petit Prince, mais, en même temps, il est nécessaire d’augmenter l’offre avec ces attractions à sensations : c’est ce que nos visiteurs demandent », explique Jérôme Giacomoni, co-fondateur du Parc du Petit Prince. 4 millions d’euros ont été investis pour ces deux manèges et la rénovation de l’attraction 4D, qui elle, était déjà existante

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